Luke Wade, de l'équipe Pharrell de la saison 7 de The Voice, se joint à Hornblower New York pour deux croisières Alive After Five le vendredi 17 avril et le samedi 18 avril, où il offrira deux spectacles uniques et intimes aux invités à bord. Les billets sont vendus à partir de 25 dollars par personne. Les deux croisières partent de la jetée 15 du South Street Seaport, l'embarquement commence à 17h30 et la croisière se déroule de 18h à 20h.

Pour acheter des billets pour l'une ou l'autre des représentations, visitez hornblowerny.com/booking.

À propos de Luke Wade : Il n'arrive que très rarement dans une génération qu'un artiste se présente avec le potentiel de refléter si honnêtement la condition humaine. Une telle vocation exige une humilité et une conscience de soi que l'on trouve rarement chez un artiste avant la fin de sa carrière, lorsqu'il est passé de l'idéalisme à la philosophie. Souvent, les jeunes auteurs-compositeurs-interprètes aspirent à dessiner une image avec des mots, une expression mélodique du visuel, en espérant capturer un seul moment significatif dans le temps. Luke aspire à capturer notre voyage à travers celui-ci - et son deuxième album, "The River", témoigne d'un départ brillant dans ce voyage.

Grandir sur Hurt Street, dans une petite ville sulfureuse du Texas, peut sembler un début de bon augure pour un chanteur de soul. Mais pour Luke Wade, de Dublin, il est difficile d'imaginer qu'il s'agit d'une véritable destinée.

Né d'artistes extraordinaires et de "hippies" autoproclamés, Luke est le produit d'un foyer qui a véritablement cultivé la créativité. Benjamin de quatre enfants, sa musique est la manifestation moderne des notions introspectives et éclairées inculquées par ses parents. Bob et Wanda ont engendré une conscience de soi qui rend la musique de Luke intrinsèquement réfléchie, sans besoin de gadget ou de nouveauté. Ses paroles perspicaces et réfléchies font qu'il est facile d'imaginer que si Hurt Street se trouvait dans une galaxie lointaine, c'est toujours la musique qu'il créerait.

Une série improbable de maladies infantiles a donné à Luke un sens précoce de la perspective que beaucoup ne retrouvent jamais, même à l'âge adulte. Une méningite spinale s'est avérée presque fatale, un accident de paintball l'a rendu aveugle d'un œil et, quelques années plus tard, un grave coup de chaleur l'a laissé lutter pour surmonter des dommages cérébraux temporaires et une amnésie. Et si ces expériences influencent inévitablement sa musique, ce n'est pas de la manière fataliste à laquelle on pourrait s'attendre. Bien que ses chansons puissent avoir cette sensation de soul "écrites sur le porche parce que la maison était trop chaude", le résultat final est un style qui semble toujours plein d'espoir.

La sortie au printemps de "The River" et la couverture médiatique qui en a découlé ont suscité de nouvelles comparaisons avec des artistes comme Ray LaMontagne. Chacun d'entre eux étant stylistiquement unique, Luke s'entoure de musiciens exceptionnels et reste parfaitement conscient de sa place dans l'équation musicale. Sa musicalité incomparable exige de l'accompagnement qu'il ne se contente pas de soutenir les paroles, il lui permet de construire un cadre distinctif dans lequel il peut raconter son histoire.

Lorsqu'il se produit avec son groupe, la section de cuivres bruyante de Luke et sa voix mélancolique sont le parfait mélange d'audace et de nuance. L'écriture de Luke est toujours honnête et jamais complaisante, créant une musique qui fait autant partie de l'auditeur que de l'artiste. Son charme "endommagé dans le transport mais absolument livré" l'a fait aimer de son public et a encouragé une foule enragée partout où il se produit.

D'instinct, Luke semble se rendre compte que son succès est toujours secondaire par rapport à la chanson, d'où une vulnérabilité rafraîchissante que vous ne pourriez pas toucher avec un bâton de dix pieds. La musique est à la fois frivole et nécessaire. Le rare artiste prêt à embrasser cette idée deviendra intemporel, faisant la musique qui vient décrire les générations et les cultures, non pas simplement comme un récit historique, mais comme une identité consciente par laquelle nous choisissons volontairement de nous définir en temps réel.

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